Bonsoir à toi petit scorpion tout nu de Montréal,
Bonsoir, lointain cousin du scorpion encarapacé de Muriindi/Muliindi/Mulindi,
Bonsoir, minus.
 
J'ai trouvé sur le Net une photo de toi, souriant de toutes tes dents zappées de loup en peluche. Tu tiens ton gâteau d'anniversaire ou ton bouquet de mariée avec ton amant FPR. Je me souviens de cette photo au finish et je te la donne avec toute ma sharaangaboësque amitié. Regardes bien l'ombre derrière toi qui regarde toi. Ne vois-tu pas ton ange gardien qui te hante : le Diable ?
 
 
Ainsi, parmi tes mots décousus, je lis que les « Rwandais ont décidé d'en découdre avec eux une fois pour toutes ? »
As-tu oublié que, suite à tes propos débordés contre le Pharaôn KagÔme et sa Pharaonne KagÔmekazi, les « Rwandais » vont aussi te découdre un jour, un soir, entre chien et loup, dans une ruelle sombre de Montréal, au moment précis où tu t'admireras dans le fragment de miroir qui troue tes poches de mendiant du web ?
 
Ainsi, parmi tes mots épars, je lis que : « Ils vont les massacrer. J'en sais quelque chose ».
Alors, tu jouis du débordement paranoïde de tes turpitudes sanguinaires, de tes rêves de bains de sang? Alors, tu jouis enfin du sang des hommes versé sur les bouts de papier de pactes iniques signés par des êtres indignes et félons?
 
Et je lis tes divagations qui s'égrènent à la queue leu-leu, comme une procession de scorpions marchant dans le sable de tes illusions qui endort tes yeux lourds. Et cette procession de queues de scorpions dans le sable m'ont fait penser à toi, Ôh Grand SharaangaboY Eternel !
Alors, petit lapin, tu jouis enfin... enfin dans ton clapier à kalulu de Montréal, couché sur la paille de la Sécurité Sociale Canadienne? « IN CAUDA VENENUM », crieras-tu fièrement. Mais ce n'est pas tout d'être un scorpion et de courir à la queue leu-leu à la suite d'autres scorpions qui indiquent le chemin, mon petit lapin de sirop d'érable fondu sur le gâteau de tes certitudes éphémères. Pour avoir « DU VENIN DANS LA QUEUE », encore faut-il avoir une queue ! Quand je parle de queue, mon petit lapin de sable, je parle de la suite, de la suite dans les idées qui s'entrechoquent sur la paille de ton clapier canadien…
 
Si tu ne comprends pas la hauteur, la largeur ou la profondeur de ces propos, je te confierai un dictionnaire qui ne contient qu'un seul mot : « Silence ».
 
Agaculama.
8 février 2009
jeudi 19 mars 2009
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