jeudi 19 mars 2009

De Valentin Agaculama au Ruf'égaré SHARAANGABOY CHAIRMAN'NABOT !

Joyeuse fête de Saint Valentin, CHAIRMAN-NABOT de Montréal,

Mon tendre petit chéri ramolli :o), SHARAANGABOY:o), ôôôh pardon, CHAIRMAN-NABOT:o), le grand nain du CNDPPPPP qui es à la recherche du miroir d'Oedipe dans les eaux troubles et les bacs à sable de Montréal!

Ôôôh SHARAANGABOY:o), ôôôh pardon, CHAIRMAN-NABOT:o), à défaut d'oranges amères, pourrais-tu:o) envoyer des bananes à ton tendre ami Nkunda dont tu:o) es éperdûment amoureux, pour lui rappeler tendrement le souvenir brûlant d'Agaculama?

Ôôôh SHARAANGABOY:o), ôôôh pardon, CHAIRMAN-NABOT:o), en espérant que tu:o) retrouveras ton idole de chairman bien en chair, man, pour voguer avec lui sur les vagues infinies de votre amourette!

Mais il faudra que tu:o) te dépèches, Ôôôh SHARAANGABOY:o), ôôôh pardon, CHAIRMAN-NABOT:o), car ton Chairman, man:o), le VRAI CHAIRMAN, le GIGA-CHAIRMAN Nkunda le Taré de l'Abattoir, sera de moins en moins en chair pour te recevoir tendrement comme jadis dans la douce intimité de votre chaumière de Mazizi ou Masisi... tu t'en souviens encore de ce décor digne d'une Saint Valenti igi/ibitutsi-congolorouwandaiz?

Ôôôh SHARAANGABOY:o), ôôôh pardon, CHAIRMAN-NABOT:o), il maigrit à vue d'oeil, man:o), ton Chairman. La maladie le ronge, man:o). Un virus de quelques nanomètres gagnera la bataille à court terme.

Ôôôh SHARAANGABOY:o), ôôôh pardon, CHAIRMAN-NABOT:o), prends vite l'avion, ôôô^h très saint SharaangaboY:o)! Ton saint patron:o) a besoin de toi:o), il besoin de ton amour idolâtre pour que vous canonisiez ensemble, tous deux enduits de vaseline et de paraffine pour l'éternité, avant que toi:o) et lui:o) ne disparaissiez dans l'âtre où finissent toutes les idoles et les marioles qui batifolent pour leur propre gloriole! Dépèches-toi de rejoindre ton CHAIRMAN, Ôôôh NABOT de l'Imfuura du zoo de Montréal, Ôôôh SHARAANGABOY:o), ôôôh pardon, CHAIRMAN-NABOT:o) l'éternellement éphémère gnome transatlantique du CNDPPPPP,

Agaculama, l'antipropaglandiste anthropologue au noyant tsunami qui engloutit ce glouton noyé et Rufégaré... Oyé!!!



Aphorisme agaculamesque: "La démangeaisonnante symbolique de l'écriture pamphlétaire entartine les sacrées masses massacrantes dans le marécage du ridicule planétaire qui les fait vaciller".

14 février 2009

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