Lettre ouverte au maréchal ferrant d'opérette SHARAANGA-BOY:o),
Alors, mon petit bonhomme:o), tu as eu chaud à tes petites fesses de pantin en bois! Cela s'est mis à cliqueter dans la remise de mama Juura quand notre petit Pinnochio RUF-AGARIC champêtre SHARAANGA-BOY, accroché à un cintre en bambou, a été pris du grand frisson d'un quaker en extase dans trois mètres de neige verglassée!
Alors, mon petit boudin:o), tu as failli le perdre ton idôle à la con avec sa canne de pédéraste anglo-saxon, surmontée d'un aigle en argent en marche pour la gay pride jusqu'à Kinshasa! Tu as vu ses airs efféminés avec son boubou blanc en dentelle et sa bouche en cul de poule, ton général de cirque à paillettes: il lui manque un boa des Folies Bergères autour du cou? Tu as perdu tout contrôle pendant quelques jours quand tu as failli perdre ton Laurent Mihigo Nkundabatware d'abattoir, hein, mon petit lapin!
Alors, ma petite louloute:o), avoues que tu as perdu les pédales, que tu ne trouvais plus ton anglo-klaxon et que tu as cru soudain tomber d'un cran dans l'échelle sociale, en voyant ton vélo à pédale se transformer en trotinette! Mon pôvre champignon des bois de Dallaire, mon pôvre petit agaric champètre, tu en as utilisé des kilogrammes de kleenex pour essuyer tes petites joues!
Et bien, mon petit MINUS:o), c'est fini de jouer. C'est fini tes petits trémolos de tata en si bémol! Ton clown Nkundabatware est sur la liste des criminels recherchés par la justice internationale: tu n'as qu'à screener le site d'Interpol. Et c'est fini de geindre maintenant. Que tu te tournes en rond dans le bac à sable de mama Juura ou que tu restes pendu par ton string en poils de chat rose au ceintre de la garde-robe de la tantouze super-vamp Nkund'Abatwâr, saches que c'est partie remise. A force de transpirer de trouille, ton général d'opérette finira par disparaître, millilitre par microgramme!
Mon gros boudin canadien:o), la justice le rattrapera plus tôt que tard, ton clown, et tu tomberas avec lui et tous tes copains qui rèvent de rivières de sang et de larmes. Et ton rêve sera caduc et tu quitteras ton rêve de devenir son paillasson préféré, paillasson sur lequel il pourra poser ses petites pantoufles en forme de phoques en peluche! Les assassins, RUF-AGARIC, ne dorment jamais plus et un jour COUÎÎÎK, ils tombent car ils ne peuvent pas toujours veiller!
Tu t'amuses à t'exercer à l'art de la propaglande, AGARIC:o), pour faire grimper ton taux de testostérone ! Eh bien, AGARIC champètre, saches qu'à ta propaglande nous opposerons toujours notre contre-propagande, jusqu'à la victoire finale.
Agaculamac... et puis... Sharaanga... crac!
6 janvier 2009
vendredi 20 mars 2009
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