quelqu'un.
Si cette information est exacte et est confirmée, la môme Chantal
Akarara n'est pas sans ignorer que se réjouir de la mort de
quelqu'un signifie que l'on est tout simplement suspect d'avoir
instrumentalisé cette mort, et donc que l'on est présumé coupable.
Que tous ceux qui se réjouissent de la mort ou du malheur d'autrui,
n'ont qu'à bien se tenir leurs petites fesses tremblantes
d'hystériques à roulettes, quand ils comparaîtront à la barre pour
expliquer en public la raison de leur soudaine jouissance.
Agaculama.
2 décembre 2008
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