*DHR* Les "Zorro" du Rwaanda de Gihaanga et les "Bourreaux" d'Afandie

Cher Kilo Charlie, Cecil Kami,

Excellente mise au point que la vôtre, ôh digne ami d'A.M.I. L'entreprise de déstabilisation de la Vérité par les tenants du mensonge étatisé en Afandie, continue par vagues et vaguelettes. Mais ces tenants là ne seront pas les aboutissants. Ils peuvent mentir la main sur le coeur avec les larmes de crocodiles du Nil à coeurs de ventriotes, mais ils sont sur un chemin de traverse, le chemin du mensonge et du Mal, un chemin qui n'aboutira nulle part, hormis au néant d'où ils surgirent officiellement en octobre 1990. L'ensemble de la pyramide des nouveaux pharaÔns des sources rwandaises du Nil est construite selon un plan savamment et diaboliquement conçu, sur les bases caduques du mensonge, du Mal, de la manipulation, de la dissimulation et de l'insinuation. Quand on s'enfonce dans le Mal, on tente de se défendre par l'armentarium et l'argumentarium du Mal et l'on s'y enfonce davantage, irrémédiablement. Le mandat d'arrêt espagnol du Juge Fernando Andreu Merelles est un exemple de bilan d'enquête cartésienne bien structuré et bien ficellé, comme bientôt les 40+1 voleurs qui en font l'objet. Certes, le juge espagnol n'a pas sucé ces faits de la substance de son pouce, de même qu'il n'a pas dû fumer du chanvre de Nyungwe pour obtenir ces informations. Ce sont des témoins, actifs ou passifs, qui l'ont informé, des témoins Abanyarwaanda, et non pas des Basungu ou autres néo-colonialistes revanchards de pacotille efpéërienne. Suite au coup d'état terroriste du 6 avril 1994, la nation rwandaise a été colonisée par des mercenaires sans foi ni loi, minoritaires, racistes monoethniques et téléguidés depuis l'étranger par des idéologies étrangères. Tout combat pour la libération de la nation rwandaise, fût-il politique ou armé, doit être basé sur une libération du Rwaanda de Gihaanga de ces hordes de mercenaires qui se nourissent du mensonge qu'ils distillent et surtout des subsides d'une communauté internationale anesthésiée et fermentée par ce poison savamment distillé et absorbé. Il n'y a rien de comparable entre un mandat d'arrêt espagnol excellemment structuré et un manuel de kermesse comme celui du Jidédé Mucyo, bourré de fautes, de documents trafiqués et de mensonges. Il n'y a rien de comparable, ni rien de compatible entre la Vérité et le mensonge. Il n'y a rien de comparable, ni rien de compatible entre la puissance de l'esprit libre et l'impuissante immobilité de la matière accumulée dans la caverne d'Ali Kaga. Il n'y a rien de comparable, ni rien de compatible entre la Justice des hommes éclairée par la Justice de Dieu et l'injustice des disciples de Méphistophélès qui ont déjà carbonisé leur âme de leur vivant et volatilisé leur espérance de l'au-delà. Que le spectre de Rwemalika continue à mouiller sa petite culotte éthiopienne en se gargarisant de la fin des "zorros espagnols". Il ne sera toujours qu'à la 31ème place ou à la 13ème place dans le miroir de l'Akagera ou l'autre miroir de l'Akanyaru. Il n'y a rien de comparable, ni rien de compatible entre, d'une part, la Cité de Dieu, de l'âme éternelle, de l'amour, de la charité, de la Justice, de la paix et de la réconciliation, et, d'autre part, les petites turbulences de ces minuscules bilulu qui se délectent du fruit de leur propre fermentation, et dont les pets amplifiés par les réseaux de l'anti-France, en particulier, ou de l'anti-Ubuuntu, en général, ne modifieront jamais les courants marins. Ce sont les bourreaux d'Afandie qui jouent aux zorros et ce serront bientôt des zorros du Rwaanda de Gihaanga qui, au terme d'un procès équitable et digne de ce nom, conduiront les bourreaux à ce point physique de non retour où la force de gravité du corps est compensée par la traction de la corde du gibet.

Bonne journée.



Eh oui, cher Cecil Kami, la fameuse police « Monotype Corsiva » vaut la signature du guignol que nous connaissons tous et qui nous fait rire aux éclats !



Agaculama.

Mercredi 27 Mai